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Burnout : symptômes, causes et solutions

Dernière mise à jour : 30 avr.

Dans la société dans laquelle nous vivons, le stress fait partie du quotidien, et le moins que l’on puisse dire, c’est que le milieu professionnel est loin d’être épargné ! En effet, une majorité des travailleurs est soumise à toutes sortes de pressions quotidiennement. Ce n’est pas forcément une mauvaise chose, car un certain niveau de stress peut être bénéfique pour booster notre productivité et améliorer nos performances.Toutefois, lorsqu’un état de stress se prolonge en milieu professionnel, cela peut conduire à un burn-out. On vous parle plus en détail de ce phénomène (de plus en plus fréquent) et des solutions naturelles pour le surmonter dans le présent article.


Burn-out: comment se soigner ?

Qu’est-ce que le burn-out  ?


C’est en 1969 que le terme anglais « burn-out », qui signifie littéralement « se consumer » ou « brûler de l’intérieur », a été employé pour la première fois pour faire référence à un stress important au travail. Depuis, ce terme a été repris dans la quasi-totalité des études qui ont été menées sur cette thématique.


Le burn-out, surmenage ou épuisement professionnel, est donc un état caractérisé par un ensemble de troubles (aussi bien psychiques que physiques) qui résultent d’une exposition prolongée au stress en milieu professionnel. Il peut toucher n’importe quel travailleur, du simple ouvrier au PDG d’une grande multinationale.


Ce syndrome d’épuisement professionnel se manifeste de manière classique par une asthénie profonde (fatigue intense), un sentiment de déshumanisation et d’extrême frustration, une perte quasi totale de motivation et un désinvestissement complet des activités relatives à son travail.


Burn-out : quels sont les signes qui doivent nous alerter  ?


Le burn-out est considéré comme « un phénomène lié au travail » par l’organisation mondiale de la santé (OMS). Selon cette dernière, il repose sur trois piliers principaux :


  1. Une fatigue intense : la personne en proie au burn-out se sent fatiguée en permanence. Elle déploie le peu d’énergie dont elle dispose pour accomplir les différentes tâches qui lui incombent, généralement sans résultats satisfaisants…

  2. Une baisse de productivité : le travailleur est moins efficace dans son travail. Il prend de plus en plus de temps pour réaliser ses missions, même les plus simples. Pour compenser, il empiète sur son temps personnel dans l’espoir de rattraper le retard. Ce qui ne fera que précipiter l’apparition ou aggraver l’intensité du burn-out !

  3. Une mauvaise image de son travail : le travailleur perçoit négativement les activités relatives à sa profession.

Pas de panique, si vous avez présenté à un moment ou un autre l’un ou plusieurs de ces signes, vous n’être pas forcément atteint de burn-out.


Afin de faire la part des choses entre burn-out et autres états de mal-être ou de stress en milieu professionnel, les experts amènent une précision très importante : la présence des trois critères (mentionnés ci-dessus) de manières prolongée et simultanée est nécessaire pour parler de burn-out.


Avant d’arriver au stade de burn-out, le travailleur peut présenter différents signes d’alerte. Il faut donc savoir reconnaître ces derniers précocement afin d’agir dans les plus brefs délais et éviter l’apparition ou l’aggravation de ce trouble ! Voici donc les signes avant-coureurs en question :

  • Se sentir fatigué tout le temps, même après s’être reposé,

  • Être moins productif (diminution du volume ou de la qualité du travail réalisé),

  • Perdre sa motivation et se désintéresser de plus en plus des différentes activités professionnelles,

  • Voir ses relations avec les collègues se détériorer et ressentir du dégoût à leur égard,

  • Être facilement irrité au travail, se mettre trop souvent en colère, se mettre à pleurer sans raison apparente (instabilité émotionnelle) …

  • S’absenter trop souvent, quitte à mentir ou à user de stratagèmes,

  • Avoir du mal à se concentrer,

  • Avoir des trous de mémoire trop fréquemment,

  • Avoir des pensées négatives, semblables à celles d’une personne dépressive. Dans les cas extrêmes, cela peut arriver aux pensées suicidaires !

Si vous présentez l’un ou plusieurs de ces signes, ou vous les repérez chez l’un de vos collègues, il ne faut pas hésiter à en parler à son employeur ou à se rapprocher d’un professionnel pour une prise en charge adéquate (psychologue, médecin du travail, psychiatre…).


Quelles sont les répercussions du burn-out sur notre santé  ?


Le burn-out est le résultat de l’accumulation d’une quantité importante de stress au fil de longs mois ou de longues années de travail. Pendant tout ce temps, le corps est sévèrement malmené ! En plus des symptômes psychiques, il en résulte diverses répercussions physiques.


Ainsi, les personnes en état d’épuisement professionnel peuvent :

  • Présenter des migraines fréquemment,

  • Souffrir de douleurs musculaires,

  • Avoir des maux de dos,

  • Grossir, ou au contraire maigrir,

  • Tomber malade plus fréquemment (baisse de l’immunité),

  • Mal dormir (difficulté à s’endormir, réveils nocturnes, insomnies…),

  • Souffrir de troubles digestifs (maux de ventre, indigestions, lourdeurs, ballonnements, ulcère, constipations/diarrhées…),

  • Être plus vulnérable à certaines maladies telles que le diabète de type 2, les accidents vasculaires cérébraux (AVC), les pathologies cardiaques, le psoriasis, les ulcères gastro-duodénaux…

NB : Ces symptômes physiques peuvent se voir longtemps avant la survenue du burn-out. Ils peuvent donc être ajoutés à la liste des signes avant-coureurs.


Burn out : qu’est-ce qui se passe dans notre corps  ?


Les mécanismes biologiques précis à l’origine du burn-out ne sont pas encore connus. Les études scientifiques ont quand même réussi à mettre en évidence un certain nombre de modifications biologiques qui pourraient expliquer partiellement les symptômes du burn-out.


L’une des principales de ces modifications est l’augmentation de la concentration d’adrénaline dans le sang. Rappelons que l’adrénaline est une hormone sécrétée par l’organisme en réponse au stress (entre autres). Cette élévation est, par exemple, responsable de l’anxiété, qui elle-même stimule la production et la libération d’adrénaline. On a donc affaire à un véritable cercle vicieux !

D’autres marqueurs biologiques sont également soupçonnés de jouer un rôle clé dans le syndrome d’épuisement professionnel, notamment la protéine C-réactive (CRP), le cortisol, les triglycérides et le cholestérol.


Quelles sont les situations à risque  ?


Le burn-out est donc la conséquence directe du stress accumulé au travail au fil des mois ou des années. Toutes les situations qui participent à l’entretien de ce stress représentent un risque.


Voici 10 exemples de situations à risque de burn-out :


  1. Rythme de travail trop élevé,

  2. Horaires de travail inadaptés (trop d’heures, travail de nuit…),

  3. Manque ou absence d’encouragements et de reconnaissance pour le travail réalisé,

  4. Manque ou absence de participation aux décisions dans l’entreprise,

  5. Empiètement de la vie professionnelle sur la vie privée,

  6. Sentiment d’incompétence, de ne pas maîtriser son travail,

  7. Sentiment d’inutilité, que son travail n’apporte pas grand-chose au monde,

  8. Manque d’estime de soi, impression d’avoir raté sa vie en exerçant un tel travail,

  9. Trop d’exigence envers soi-même, se fixer des objectifs trop ambitieux voire irréalistes,

  10. Être trop perfectionniste, ne jamais être satisfait de son travail ou de celui de ses collègues


Comment agir lorsqu’on est en proie au burn-out  ?


La première mesure à prendre quand un burn-out est confirmé (par un médecin de travail généralement) est la prescription d’un arrêt de travail. En effet, extirper le travailleur du milieu stressant est d’une importance capitale pour amorcer un processus de convalescence.


Il ne suffit pas de se reposer une certaine période pour guérir d’un burn-out. Il est tout à fait possible de se sentir complètement rétabli, mais une fois le travail repris, les symptômes réapparaissent très rapidement et c’est la rechute ! Il faut donc se faire aider par un professionnel, un psychothérapeute.


La psychothérapie, qui est quasi indispensable à la guérison, est généralement assurée par un psychologue du travail. Mais il est possible de se tourner vers d’autres psychothérapeutes, voire un psychiatre. Le nombre de séances à suivre est « autant que nécessaire ! », c’est-à-dire jusqu’à la guérison.


Durant le processus de guérison, des médicaments tels que des antidépresseurs ou des anxiolytiques peuvent se révéler nécessaires. Leur prescription doit, bien évidemment, faire l’objet d’une prescription médicale et d’une consultation en bonne et due forme chez un médecin assermenté.


Reprendre le travail après un burn-out : oui, mais sous condition  !


L’un des principaux objectifs de la prise en charge du burn-out est la reprise du travail dès que possible. Cette reprise est soumise à une condition : corriger les facteurs qui ont participé au burn-out.


Pour ce faire, il est souvent nécessaire d’apporter certaines modifications (dont certaines sont du ressort de l’employeur) concrètes telles que :


  • Réduire le volume ou le temps de travail,

  • Aménager les horaires de travail,

  • Améliorer les conditions de travail,

  • Améliorer l’atmosphère de travail, notamment par une meilleure communication avec ses collègues,

  • Eviter de « ramener du boulot à la maison »

  • Impliquer les employés dans la prise de certaines décisions relative au sein de l’entreprise,

  • Offrir aux travailleurs certaines prestations (salle de détente, cantine ou crèche pour les enfants…),

Dans certains cas, les signes du burn-out réapparaissent très vite après la réintégration du poste de travail. Même avec la correction des facteurs incriminés ! Un changement de poste de travail, voire une reconversion professionnelle pourrait donc être souhaitable pour préserver son équilibre mental et physique.


Existe-t-il des solutions naturelles pour gérer un burn-out  ?


La médecine dite « conventionnelle » fait de plus en plus appel à des thérapies issues de la médecine « alternative » (naturelle, traditionnelle, complémentaire, douce…). Certaines de ces thérapies naturelles peuvent se révéler d’une grande aide pour surmonter un burn-out, voire prévenir son développement.


Phytothérapie : s’en sortir grâce aux plantes adaptogènes et anti-stress


L’utilisation de plantes pour gérer le stress est aujourd’hui quasi systématique, notamment dans le cadre d’un burn out.


Voici donc le top 7 des plantes pour lutter contre l’épuisement professionnel :


1. L’Ashwagandha : appelé également « ginseng indien », l’ashwagandha fait partie d’une catégorie de plantes dites « adaptogènes ». C’est-à-dire qu’elle aide l’organisme à régler ses fonctions biologiques afin de renforcer naturellement sa capacité d’adaptation lorsqu’il est soumis à un stress psychique ou physique.


Ses bienfaits contre le stress et l’anxiété ont été exploités depuis des siècles, et de nombreuses études récentes ont prouvé son efficacité. En effet, la consommation régulière d’ashwagandha permet de réduire sensiblement les concentrations de certains marqueurs de stress tels que la tribuline et le cortisol.


Pour lutter contre le burn-out, il est recommandé de consommer quotidiennement 2 à 3 grammes de poudre d’ashwagandha dans un verre d’eau (jus de fruits, yaourt, compote…) ou 400 mg d'extrait sec standardisé à 5% en withanolide. Une cure d’une durée comprise entre 30 et 40 jours est nécessaire, suivie d’une pause de 10 jours avant une éventuelle seconde cure.


Attention, 4 cures par an maximum ! Par mesure de précaution, les femmes enceintes ou allaitantes doivent éviter d’utiliser cette plante.


2. L’Eleuthérocoque : cette plante adaptogène originaire de Sibérie est utilisée dans la médecine traditionnelle chinoise depuis des millénaires pour augmenter l’espérance de vie en vivifiant l’organisme de manière globale.


C’est une plante particulièrement intéressante quand on essaie de surmonter un burn-out, car sa consommation régulière permet d’améliorer les performances physiques et intellectuelles, d’accélérer la récupération, du lutter contre le stress au quotidien et d’augmenter le bien-être général.


Il suffit de boire 1 à 2 infusions (faites de 2 à 4 grammes de poudre d’éleuthérocoque infusés dans 150 ml d’eau bouillante) par jour pour profiter de tous les bienfaits de cette plante.

Attention, cette plante ne doit pas être prise après 16 h. Son utilisation est déconseillée chez les enfants de moins de 12 ans et les femmes enceintes ou allaitantes. Les extraits secs standardisés restent aussi efficaces.


3. La Rhodiola : le rhizome de cette plante adaptogène est consommé depuis des siècles par les Vikings pour augmenter leurs performances au combat. Aujourd’hui, ses vertus contre le stress et son aptitude à renforcer les fonctions de l’organisme (performances mentales et physiques) sont exploitées pour donner un coup de boost en cas de fatigue.


Il existe sur le marché plusieurs préparations et compléments alimentaires à base d’extrait de rhizome de rhodiola (gélules, comprimés, capsules…). Il suffit de s’en procurer et de veiller à respecter les consignes d’utilisation propres à chaque produit.


Les bienfaits de la rhodiola sont très proches de ceux de l’ashwagandha. Certains compléments alimentaires à base de ces deux plantes ont donc été développés pour une action synergique et plus d’efficacité.


4. La passiflore : cette plante possède des propriétés apaisantes reconnues, et ce, en agissant de manière directe sur le système nerveux central. Elle favorise donc la relaxation et permet d’améliorer la qualité du sommeil.


5. La valériane : elle contribue à l’apaisement de l’organisme, à lutter contre le stress et les troubles du sommeil.


6. L’Escholtzia : elle participe grandement au bien-être nocturne en favorisant un sommeil réparateur.


7. Le millepertuis : aide à lutter contre les petites déprimes, la nervosité et l’anxiété.


L’hypnose : vaincre le burn-out en faisant ressortir ses causes du fin fond de sa conscience  !


La médecine fait de plus en plus appel à l’hypnose dans de nombreuses situations. Le principe de l’hypnose dans le traitement du burn-out est de plonger le patient dans un état de profond bien-être et de relâchement complet pour avoir accès à son subconscient. Cette étape est nécessaire pour mettre le doigt sur les causes profondes qui ont participé à l’épuisement professionnel.

Après avoir identifié de manière assez précise les facteurs causaux, l’hypnothérapeute entame un processus de reconditionnement de l’inconscient du patient en ayant recours à plusieurs techniques (respiration, détente, visualisation, suggestion…).


Au fil des séances, le thérapeute débarrasse progressivement le patient des blocages et tensions impliqués dans son burn-out. Les résultats sont souvent bluffants, et la reprise du travail est généralement possible assez rapidement.


D’autres techniques de relaxation


Toutes les méthodes naturelles capables de réduire le stress sont les bienvenues quand il s’agit de surmonter un burn-out :

  • Sophrologie,

  • Méditation,

  • Aromathérapie,

  • Yoga,

  • Massages,

  • Réflexologie,

  • Acupuncture,

  • Etc.

Récupérer après un burn-out : adopter une hygiène de vie plus saine est capital  !


Certes, le burn-out est en grande partie le résultat de l’accumulation de stress en milieu professionnel. Mais, les autres aspects de sa vie ont une influence significative sur son développement.


Adopter une hygiène de vie saine peut donc avoir un effet protecteur vis-à-vis du burn-out :


Manger sainement


Pour éviter la rechute après un burn-out, ou mieux prévenir un burn-out, il est essentiel d’avoir une alimentation saine et équilibrée.


Veillez à consommer quotidiennement des plats riches en protéines, en glucides, en bonnes graisses et en vitamines pour fournir à l’organisme tous les éléments nutritionnels dont il a besoin pour un fonctionnement optimal. Il pourra alors faire face aux situations stressantes et affronter plus efficacement les coups durs de la vie !


Il existe certains aliments particulièrement intéressants dans le cadre d’un burn-out pour leurs vertus anti-stress :


  • Les fruits frais et les légumes cuits à la vapeur : ce sont les sources par excellence de toutes les vitamines ! La cuisson vapeur des légumes permet une meilleure préservation de leurs qualités nutritionnelles.

  • Les poissons gras : ce type de poissons est bourré d’oméga 3 (un acide gras polyinsaturé), l’un des meilleurs anti-stress naturels ! Consommez donc régulièrement (une ou deux fois par semaine) des poissons tels que la sardine, le maquereau, la morue, le saumon ou le thon. Vous pouvez aussi opter pour leurs huiles (les huiles de poisson gras telles que l’huile de foie de morue qui est une excellente source d’oméga 3).

  • Les œufs : en plus d’apporter des protéines, les œufs sont également une bonne source d’oméga 3.

  • Le miel : particulièrement le miel de tilleul ! Grâce à sa richesse en oligo-éléments (potassium, manganèse, calcium), il est capable d’apaiser le système nerveux. Il est redoutablement efficace pour lutter contre le stress et l’angoisse au quotidien.

  • Le chocolat noir : il apporte une bonne quantité de magnésium, ce qui diminue les « coups de mou » et aide à faire face aux situations de stress.

  • Le thé noir : sa consommation régulière permet de diminuer la concentration sanguine du cortisol, l’une des principales hormones du stress.


Faire de l’exercice


Pratiquer une activité physique régulière fait partie intégrante du traitement et de la prévention du burn-out.


Pour un adulte d’âge moyen, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande de pratiquer 150 à 300 minutes d’une activité physique modérée de manière hebdomadaire.


Une activité physique n’est pas synonyme de sport intense ou de séances épuisantes à la salle de gym. C’est toute activité qui entraine au moins un léger essoufflement. Ça peut donc très bien prendre la forme d’une promenade en forêt, d’une séance de jardinage, les tâches ménagères

Par exemple, marcher une trentaine de minutes par jour (marche active) permet non seulement une réduction importante du niveau de stress, mais également une diminution du risque de développer un diabète de type 2 ou une maladie cardiovasculaire (crise cardiaque, AVC…) ! Sans parler de la silhouette qui s’affine à vue d’œil, ce qui est également excellent pour le moral ! Tous les bienfaits physiques et psychiques de l’activité physique régulière s’additionnent pour tenir à distance le burn-out.


Bien dormir  !


Pour préserver son équilibre mental est physique, dormir bien et suffisamment est essentiel. Un corps qui manque de sommeil est plus vulnérable face au stress et s’épuise vite.


Pour surmonter un burn-out ou l’éviter, soignez votre sommeil en respectant ces quelques règles simples :

  • Dormir suffisamment (environ 8 heures par nuit),

  • Dormir à heures fixes,

  • Dormir de préférence avant 22 h,

  • Avoir une bonne literie,

  • Limiter le temps passé face aux écrans le soir.

  • Eviter les excitants le soir (café, thé, alcool, boissons énergisantes, sport…) et privilégier les activités apaisantes (tisanes, méditation, exercices de respiration…).

Il n’est pas rare de rencontrer des difficultés à s’endormir lorsqu’on passe des journées stressantes au travail. Le manque de sommeil, à son tour, influe sur sa capacité à faire face au stress de la journée.


Vous pouvez sortir de cette sphère infernale en faisant appel à certaines plantes amies du sommeil telles que la valériane, la passiflore, le millepertuis, le griffonia ou le houblon. Relaxantes et en même temps sédatives, elles favorisent la détente psychique et influent positivement sur le sommeil (endormissement plus rapide, sommeil plus réparateur, réductions des réveils nocturnes…).



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